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La DPJ «discrimine» les familles haïtiennes, selon une intervenante

Photo du rédacteur: Vanessa MahonVanessa Mahon

La commission Laurent a par ailleurs reçu hier Jennifer Dupuis, présidente du conseil d’administration de Care Jeunesse, un groupe qui vient en aide aux jeunes de la DPJ, y compris après leur sortie du système.


Elle-même une ancienne enfant de la DPJ, Mme Dupuis s’est faite la porte-parole des doléances des jeunes pris en charge par l’État.

Trop souvent, les fratries sont séparées et les jeunes perdent contact avec leurs frères et sœurs.


Les jeunes en centre jeunesse manquent aussi de vêtements et de produits d’hygiène de base, a poursuivi Mme Dupuis.


L’école en centre jeunesse ? Nettement déficiente, à son avis.


Certains cours, comme les sciences physiques, ne sont souvent même pas dispensés. On se dit qu’ils ne sont pas nécessaires à l’obtention du diplôme de secondaire 5. Peut-être, mais ils sont nécessaires pour ceux qui veulent aller au cégep.

Jennifer Dupuis, présidente du conseil d’administration de Care Jeunesse, à propos de l’éducation en centre jeunesse





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