Selon l'avocate de la fillette, une telle situation est loin d'être rare au sein des services de protection de la jeunesse.
«Il n'y a pas de surprise. Mon dossier, ce n'est pas un dossier d'exception.» - Me Marie-Josée Ayoub, avocate de Léa*
Batshaw (la DPJ anglophone de Montréal) a refusé la demande d'entrevue de La Presse en invoquant le caractère confidentiel du dossier.
Mais le syndicat qui représente les éducateurs n'a pas hésité à blâmer l'employeur pour le manque de stabilité au sein du personnel, soulignant le manque de formations adaptées aux milieux difficiles et des conditions de travail qui ne facilitent pas le recrutement.
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